L’annonce était parfaite… mais c’est clairement un citron.
L’annonce était parfaite… mais c’est clairement un citron.
Vous avez vu l’annonce.
Posé vos questions.
Signé les papiers.
Et là… quelque chose cloche.
La voiture tousse.
Le condo sent l’humidité.
L’achat à plusieurs milliers de dollars que vous venez de faire ressemble plus à un citron qu’à une bonne affaire.
Que ce soit une auto usagée, une maison ou un autre gros achat, si vous le regrettez déjà, voici ce qu’il faut savoir sur les vices cachés au Québec :
1. Ce n’est pas juste du regret — la loi est de votre côté
Au Québec, la garantie légale de qualité protège les acheteurs — même si elle n’est pas mentionnée dans votre contrat.
Si ce que vous avez acheté a un problème grave, caché, existant avant la vente, vous pourriez avoir des recours légaux.
2. Qu’est-ce qu’un “vice caché”?
Pour être reconnu, le problème doit être :
Sérieux : affecte l’usage, la sécurité ou la valeur
Caché : invisible ou impossible à détecter à l’achat
Antérieur : présent avant la vente
Inconnu : même en inspectant normalement, vous ne pouviez pas le savoir
Une clim défectueuse, une fissure dans la fondation, un moteur qui allume le voyant en continu?
Ça peut aller bien au-delà d’un simple irritant.
3. Première étape : avertir le vendeur
Avant de faire quoi que ce soit, envoyez un avis écrit au vendeur.
Ajoutez des preuves (photos, vidéos, rapports).
Et n’effectuez pas les réparations avant d’avoir envoyé l’avis, sauf en cas d’urgence.
Si vous sautez cette étape, vous pourriez perdre vos droits, même avec une plainte légitime.
4. Deuxième étape : faites inspecter le problème
Un mécanicien, un inspecteur ou un expert doit évaluer la situation.
Plus vous avez de preuves objectives, plus votre dossier est solide.
5. Troisième étape : savoir quoi demander
Selon la gravité du vice, vous pourriez réclamer :
Un remboursement partiel
Le remboursement des réparations
Dans les cas extrêmes, l’annulation de la vente
Tout dépend du moment où vous agissez, des preuves accumulées et de la réaction du vendeur.
🍋 Vous êtes tombé sur un citron, ça arrive.
Mais au Québec, la loi ne vous oblige pas à avaler la pilule sans rien dire.
✨ Leya vous aide à planifier vos prochaines étapes — rapidement.
Réservez une consultation comme vous réserveriez un cours de spinning.
On vous aide à décider si ça vaut la peine de vous battre — et surtout, comment le faire comme il faut.
Vous avez vu l’annonce.
Posé vos questions.
Signé les papiers.
Et là… quelque chose cloche.
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Le condo sent l’humidité.
L’achat à plusieurs milliers de dollars que vous venez de faire ressemble plus à un citron qu’à une bonne affaire.
Que ce soit une auto usagée, une maison ou un autre gros achat, si vous le regrettez déjà, voici ce qu’il faut savoir sur les vices cachés au Québec :
1. Ce n’est pas juste du regret — la loi est de votre côté
Au Québec, la garantie légale de qualité protège les acheteurs — même si elle n’est pas mentionnée dans votre contrat.
Si ce que vous avez acheté a un problème grave, caché, existant avant la vente, vous pourriez avoir des recours légaux.
2. Qu’est-ce qu’un “vice caché”?
Pour être reconnu, le problème doit être :
Sérieux : affecte l’usage, la sécurité ou la valeur
Caché : invisible ou impossible à détecter à l’achat
Antérieur : présent avant la vente
Inconnu : même en inspectant normalement, vous ne pouviez pas le savoir
Une clim défectueuse, une fissure dans la fondation, un moteur qui allume le voyant en continu?
Ça peut aller bien au-delà d’un simple irritant.
3. Première étape : avertir le vendeur
Avant de faire quoi que ce soit, envoyez un avis écrit au vendeur.
Ajoutez des preuves (photos, vidéos, rapports).
Et n’effectuez pas les réparations avant d’avoir envoyé l’avis, sauf en cas d’urgence.
Si vous sautez cette étape, vous pourriez perdre vos droits, même avec une plainte légitime.
4. Deuxième étape : faites inspecter le problème
Un mécanicien, un inspecteur ou un expert doit évaluer la situation.
Plus vous avez de preuves objectives, plus votre dossier est solide.
5. Troisième étape : savoir quoi demander
Selon la gravité du vice, vous pourriez réclamer :
Un remboursement partiel
Le remboursement des réparations
Dans les cas extrêmes, l’annulation de la vente
Tout dépend du moment où vous agissez, des preuves accumulées et de la réaction du vendeur.
🍋 Vous êtes tombé sur un citron, ça arrive.
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