Mon proprio ne répare rien.
Mon proprio ne répare rien.
Vous avez demandé. Vous avez relancé.
Toujours rien. Et vous vivez maintenant avec un [insérer le cauchemar ici — plafond qui coule, chauffage en panne, murs qui s’écaillent].
Alors… on fait quoi?
Quand votre proprio ne bouge pas, vous avez deux choix : négocier ou escalader.
Commençons par négocier — c’est souvent plus rapide, moins cher et beaucoup moins stressant qu’une plainte officielle.
Voici comment écrire un message qui sera pris au sérieux :
1. Mettez-le par écrit (même si vous en avez déjà parlé)
Les textos s’oublient. Les appels disparaissent.
Mais une demande datée, envoyée par courriel ou courrier recommandé, crée une trace claire.
Bonus : ça montre que vous ne bluffez pas.
2. Joignez des preuves
Photos, vidéos, même une soumission d’un réparateur.
Ça aide votre proprio à voir le problème — et à comprendre que vous êtes sérieux.
3. Mentionnez les conséquences (sans menacer)
Vous n’êtes pas agressif. Vous êtes clair.
« J’aimerais vraiment qu’on règle ça directement. Si ça reste non résolu, je devrai envisager les prochaines étapes auprès du Tribunal administratif du logement. »
Traduction : vous êtes informé, poli, mais pas naïf.
4. Connaissez vos droits — et nommez-les
Au Québec, les proprios sont légalement obligés d’entretenir les logements en bon état.
Ce n’est pas une faveur. C’est la loi.
Vous ne vous plaignez pas — vous exigez ce qui est normal.
5. Fixez un délai clair
Par exemple :
« Pouvez-vous me confirmer si les réparations seront faites d’ici vendredi prochain? »
Attendre indéfiniment, ça donne rarement des résultats. Un délai précis (mais respectueux) aide à faire avancer les choses.
🧯Toujours ignoré? Ou ça commence à sentir la tension?
C’est le moment de parler à quelqu’un qui connaît le jeu.
Pas sûr par où commencer? 👋
Réservez une consultation avec un avocat en droit du logement au Québec.
💬 25 minutes. Des réponses claires, rapidement.
Vous avez demandé. Vous avez relancé.
Toujours rien. Et vous vivez maintenant avec un [insérer le cauchemar ici — plafond qui coule, chauffage en panne, murs qui s’écaillent].
Alors… on fait quoi?
Quand votre proprio ne bouge pas, vous avez deux choix : négocier ou escalader.
Commençons par négocier — c’est souvent plus rapide, moins cher et beaucoup moins stressant qu’une plainte officielle.
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1. Mettez-le par écrit (même si vous en avez déjà parlé)
Les textos s’oublient. Les appels disparaissent.
Mais une demande datée, envoyée par courriel ou courrier recommandé, crée une trace claire.
Bonus : ça montre que vous ne bluffez pas.
2. Joignez des preuves
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3. Mentionnez les conséquences (sans menacer)
Vous n’êtes pas agressif. Vous êtes clair.
« J’aimerais vraiment qu’on règle ça directement. Si ça reste non résolu, je devrai envisager les prochaines étapes auprès du Tribunal administratif du logement. »
Traduction : vous êtes informé, poli, mais pas naïf.
4. Connaissez vos droits — et nommez-les
Au Québec, les proprios sont légalement obligés d’entretenir les logements en bon état.
Ce n’est pas une faveur. C’est la loi.
Vous ne vous plaignez pas — vous exigez ce qui est normal.
5. Fixez un délai clair
Par exemple :
« Pouvez-vous me confirmer si les réparations seront faites d’ici vendredi prochain? »
Attendre indéfiniment, ça donne rarement des résultats. Un délai précis (mais respectueux) aide à faire avancer les choses.
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