Retards sur le loyer et un ordi brisé — guide de survie entre colocataires
Retards sur le loyer et un ordi brisé — guide de survie entre colocataires
Vivre en colocation, ça fait sauver de l’argent… jusqu’au jour où quelqu’un saute un mois de loyer, brise votre portable ou disparaît quand vient le temps de payer l’internet.
Que vous viviez encore ensemble ou non, voici comment réclamer ce qu’on vous doit (calmement, clairement et légalement) — du simple texto à la démarche officielle :
1. Commencez par une vraie conversation
Un petit rappel amical peut suffire. Essayez quelque chose de simple :
« Salut, juste pour vérifier pour le loyer du mois passé — des nouvelles? »
Gardez des traces écrites de vos échanges, au cas où ça tourne mal.
2. Mettez-le par écrit
Si rien ne bouge, enchaînez avec un court message écrit. Résumez :
Le montant dû
La raison
Le délai pour être payé
Exemple :
« Petit suivi — il reste 600 $ pour le loyer de février. J’apprécierais vraiment que tu puisses l’envoyer d’ici vendredi prochain. »
3. Envoyez une mise en demeure
Toujours pas de réponse? On passe à l’étape suivante.
Au Québec, vous pouvez envoyer une mise en demeure, une lettre officielle qui précise :
Ce que vous réclamez
Pourquoi vous y avez droit légalement
Le délai de réponse (souvent 10 jours)
Ce n’est pas une menace, c’est juste la procédure. Les tribunaux s’attendent à ce que ce soit fait avant de déposer une réclamation.
4. Allez aux petites créances (au besoin)
Si parler n’a rien donné, vous pouvez déposer une demande à la Division des petites créances — pas au Tribunal administratif du logement (TAL).
Pourquoi?
Le TAL gère les conflits locataire-propriétaire, pas les disputes entre colocs.
Donc, si votre coloc vous doit du loyer, a brisé vos affaires ou a fui en laissant des factures derrière, les petites créances, c’est la bonne place.
Vous pouvez déposer en ligne, sans avocat.
💬 Les conflits de colocation sont malaisants. Mais se faire rembourser ne devrait pas être compliqué.
Vous connaissez Leya? C’est la façon la plus simple d’avoir accès à de l’aide juridique au Québec — réservation en ligne, pas d’appels interminables, pas de pression.
Quand vous serez prêt, on est là.
Vivre en colocation, ça fait sauver de l’argent… jusqu’au jour où quelqu’un saute un mois de loyer, brise votre portable ou disparaît quand vient le temps de payer l’internet.
Que vous viviez encore ensemble ou non, voici comment réclamer ce qu’on vous doit (calmement, clairement et légalement) — du simple texto à la démarche officielle :
1. Commencez par une vraie conversation
Un petit rappel amical peut suffire. Essayez quelque chose de simple :
« Salut, juste pour vérifier pour le loyer du mois passé — des nouvelles? »
Gardez des traces écrites de vos échanges, au cas où ça tourne mal.
2. Mettez-le par écrit
Si rien ne bouge, enchaînez avec un court message écrit. Résumez :
Le montant dû
La raison
Le délai pour être payé
Exemple :
« Petit suivi — il reste 600 $ pour le loyer de février. J’apprécierais vraiment que tu puisses l’envoyer d’ici vendredi prochain. »
3. Envoyez une mise en demeure
Toujours pas de réponse? On passe à l’étape suivante.
Au Québec, vous pouvez envoyer une mise en demeure, une lettre officielle qui précise :
Ce que vous réclamez
Pourquoi vous y avez droit légalement
Le délai de réponse (souvent 10 jours)
Ce n’est pas une menace, c’est juste la procédure. Les tribunaux s’attendent à ce que ce soit fait avant de déposer une réclamation.
4. Allez aux petites créances (au besoin)
Si parler n’a rien donné, vous pouvez déposer une demande à la Division des petites créances — pas au Tribunal administratif du logement (TAL).
Pourquoi?
Le TAL gère les conflits locataire-propriétaire, pas les disputes entre colocs.
Donc, si votre coloc vous doit du loyer, a brisé vos affaires ou a fui en laissant des factures derrière, les petites créances, c’est la bonne place.
Vous pouvez déposer en ligne, sans avocat.
💬 Les conflits de colocation sont malaisants. Mais se faire rembourser ne devrait pas être compliqué.
Vous connaissez Leya? C’est la façon la plus simple d’avoir accès à de l’aide juridique au Québec — réservation en ligne, pas d’appels interminables, pas de pression.
Quand vous serez prêt, on est là.